Liquidation d’entreprise VTC

Les démarches pour liquider son entreprise VTC

Vous souhaitez fermer votre entreprise VTC pour vous consacrer à une autre activité ou un autre projet, ou vous souhaitez tout simplement mettre fin à votre projet entrepreneurial ? Il existe plusieurs solutions, ne vous inquiétez pas !

Vous vous demandez comment fermer une entreprise VTC ? Comment fermer une micro-entreprise VTC ? Peut-on fermer une entreprise VTC du jour au lendemain ? Nous vous expliquons tout !

Notre équipe composée d’avocats et de juristes spécialisés en droit des affaires vous accompagne dans la fermeture de votre entreprise. Soumettez-nous votre besoin/projet et laissez-vous guider par notre équipe.

voiture VTC
chauffeur VTC

Quelles sont les solutions possibles ?

Deux solutions s’offrent à vous : fermer votre entreprise VTC ou simplement la mettre en sommeil.

La première option consiste à mettre fin de manière radicale à la vie de votre entreprise VTC.

Dans le second cas, cette formalité qui consiste à mettre en pause votre entreprise VTC ne peut excéder 2 années. En fonction de votre besoin et de votre projet, vous pourrez choisir la première option ou la seconde.

La mise en sommeil de mon entreprise VTC

 

 

Pourquoi mettre une société en sommeil ?

Vous avez des nouveaux projets, vous avez trouvé un travail qui vous motive, et vous souhaitez vous y consacrer pendant une certaine période? La mise en sommeil est une bonne option pour vous. Dans ce cas, l’activité de votre société sera temporairement suspendue, mais la structure juridique subsiste.

 

Quelle est la durée de la mise en sommeil ? 

La période de mise en sommeil d’une société est de 2 années au plus. A la fin de cette période, le représentant légal pourra reprendre l’activité de la société par une formalité réalisée auprès du greffe du Tribunal, ou procéder à la fermeture définitive de la société (en faisant une liquidation de la société).

Pour plus de renseignements, contactez BVTC.

 

Foire aux questions

Est ce qu'on peut fermer une société et l'ouvrir après 1 an ?

Oui, il est possible de fermer une société et de l’ouvrir après 1 an.

Cependant, il y a plusieurs points importants à prendre en compte :

1. Les formalités administratives

  • Fermeture de la société: Il est nécessaire de suivre les démarches administratives de fermeture de la société, notamment la radiation au RCS, la liquidation du patrimoine et la déclaration de cessation d’activité.
  • Ouverture d’une nouvelle société: Il est nécessaire de créer une nouvelle société en suivant les démarches administratives de création d’entreprise, notamment la rédaction des statuts, le dépôt du capital social et l’immatriculation au RCS.

2. Les conséquences fiscales

  • Fermeture de la société: La fermeture de la société peut entraîner des conséquences fiscales, notamment la taxation des plus-values latentes et la liquidation de l’impôt sur les sociétés.
  • Ouverture d’une nouvelle société: L’ouverture d’une nouvelle société peut entraîner des conséquences fiscales, notamment l’imposition des plus-values réalisées lors de la création de la société.

3. Les implications sociales

  • Fermeture de la société: La fermeture de la société peut avoir des implications sociales pour les salariés, notamment la rupture des contrats de travail et le licenciement économique.
  • Ouverture d’une nouvelle société: L’ouverture d’une nouvelle société peut avoir des implications sociales pour les salariés, notamment la création de nouveaux contrats de travail et le recrutement de nouveaux employés.

Il est important de bien se renseigner et de prendre conseil auprès d’un expert-comptable ou d’un avocat avant de fermer une société et de l’ouvrir après 1 an.

Est-ce possible de payer la liquidation en 2 fois car j'ai un plafond de paiement ?

La possibilité de payer une liquidation en plusieurs fois dépend de la nature de la liquidation et des conditions fixées par le liquidateur.

Voici quelques cas de figure :

1. Liquidation judiciaire

  • En principe, le paiement des dettes de la société en liquidation judiciaire doit être effectué en une seule fois.
  • Cependant, le liquidateur peut autoriser un paiement échelonné dans certains cas, notamment si le débiteur présente des garanties suffisantes.
  • Le liquidateur fixera les conditions du paiement échelonné, notamment le montant des mensualités, la durée du plan de paiement et les intérêts éventuels.

2. Liquidation amiable

  • La liquidation amiable est plus flexible que la liquidation judiciaire.
  • Les parties peuvent convenir d’un paiement échelonné de la liquidation.
  • La convention de liquidation amiable doit mentionner les conditions du paiement échelonné, notamment le montant des mensualités, la durée du plan de paiement et les intérêts éventuels.

3. Liquidation d’une succession

  • Le paiement des dettes d’une succession peut être effectué en plusieurs fois.
  • Les héritiers peuvent convenir d’un partage des dettes et de leur paiement échelonné.
  • Un plan de partage et de liquidation doit être établi et signé par tous les héritiers.

Dans tous les cas, il est important de se renseigner auprès du liquidateur ou des héritiers pour connaître les conditions du paiement échelonné de la liquidation.

Qu’est-ce qu’une dissolution ?

Une dissolution de société marque la fin de la vie d’une entreprise. C’est une décision juridique qui met fin à l’existence de la société et l’empêche de poursuivre son activité.

Il existe deux principaux types de dissolution de société :

  • Dissolution volontaire : décidée par les associés de la société. C’est le cas le plus fréquent. Elle peut intervenir pour plusieurs raisons, par exemple :

    • Arrivée du terme social prévu dans les statuts.
    • Réalisation ou extinction de l’objet social de la société.
    • Perte de capitaux propres rendant impossible la poursuite de l’activité.
    • Mésentente entre associés paralysant le fonctionnement de la société.
    • Volonté commune des associés de mettre fin à l’entreprise.
  • Dissolution judiciaire : prononcée par un tribunal à la demande d’un associé ou d’un créancier. Cela peut se produire lorsque :

    • Un associé manque gravement à ses obligations.
    • Des mésententes entre associés empêchent le bon fonctionnement de la société.
    • La société est dans l’incapacité de payer ses dettes.

La dissolution de société entraîne plusieurs conséquences importantes :

  • Arrêt de l’activité : La société ne peut plus exercer son activité commerciale.
  • Liquidation : Un liquidateur est nommé pour régler les dettes de la société, vendre ses actifs et répartir le solde entre les associés.
  • Fin des mandats : Les dirigeants de la société perdent leur mandat.
  • Radiation du registre du commerce et des sociétés (RCS) : Une fois la liquidation terminée, la société est radiée du RCS.

Combien de temps peut durer la phase de dissolution d’une Société ?

La durée de la phase de dissolution d’une société peut varier considérablement, en fonction de plusieurs facteurs :

1. La complexité de la liquidation :

  • Le nombre et la valeur des actifs à vendre.
  • Le nombre de dettes à régler.
  • L’existence de litiges.

2. La diligence du liquidateur :

  • Son efficacité à gérer la liquidation.
  • Sa réactivité face aux imprévus.

3. Les décisions des associés :

  • Leur implication dans la liquidation.
  • Leur capacité à trouver des solutions aux problèmes rencontrés.

En principe, la phase de dissolution ne peut pas excéder 3 ans.

  • Cependant, ce délai peut être prolongé par le tribunal pour des motifs légitimes.
  • Le liquidateur doit convoquer l’assemblée générale des associés tous les 6 mois pour faire le point sur l’avancement de la liquidation.

Qu’est-ce qu’une radiation ?

La radiation de société est la dernière étape officielle marquant la cessation définitive de l’existence d’une entreprise. Elle intervient après la dissolution de la société et la clôture de sa liquidation.

Voici comment se déroule la radiation de société :

  1. Dissolution de la société : Les associés décident de dissoudre la société, mettant fin à son activité.
  2. Liquidation : Un liquidateur est nommé pour régler les dettes de la société, vendre ses actifs et répartir le solde entre les associés.
  3. Clôture de la liquidation : Une fois toutes les dettes payées, les actifs vendus et les comptes clôturés, la liquidation est terminée.
  4. Radiation : Le liquidateur demande la radiation de la société au Registre du Commerce et des Sociétés (RCS).

La radiation signifie que la société n’est plus inscrite au RCS et ne peut plus exercer aucune activité commerciale.

Voici quelques points importants à retenir sur la radiation de société :

  • Elle est obligatoire pour toutes les sociétés commerciales en France.
  • Elle est effectuée par le liquidateur de la société.
  • Elle entraîne la fermeture définitive du dossier de la société au RCS.
  • Elle ne peut être demandée qu’après la clôture de la liquidation.

Qu'est-ce qu'une radiation d’office ?

Une radiation d’office est une procédure administrative par laquelle le greffe du tribunal de commerce rayonne une société du Registre du Commerce et des Sociétés (RCS) sans que la démarche ne soit initiée par la société elle-même. C’est en quelque sorte une sanction pour non-respect des obligations légales et administratives.

Voici les principaux cas de radiation d’office :

  • Manque de dépôt des comptes annuels pendant plusieurs exercices.
  • Inactivité de la société pendant une période prolongée.
  • Non-paiement du greffe du tribunal de commerce.
  • Interdiction de gérer prononcée par la justice à l’encontre du dirigeant.

Conséquences de la radiation d’office :

  • La société ne figure plus sur le RCS et ne peut plus exercer d’activité commerciale.
  • La radiation d’office n’équivaut pas à une dissolution de la société. La société continue d’exister juridiquement, mais elle ne peut plus agir en tant que telle.
  • La radiation d’office peut être contestée par la société auprès du tribunal de commerce.

Si vous recevez une notification de radiation d’office, il est important de réagir rapidement en contactant un avocat ou un expert-comptable.

Puis-je mettre ma société en sommeil ?

Oui, il est possible de mettre votre société en sommeil, aussi appelée cessation temporaire d’activité. Cette option vous permet de suspendre l’activité de votre entreprise pendant une période maximale de deux ans tout en conservant sa personnalité juridique.

Voici les conditions pour mettre une société en sommeil :

  • Votre société doit être immatriculée au RCS depuis plus d’un an.
  • Votre société ne doit pas être en liquidation judiciaire.
  • Votre société ne doit pas avoir de dettes fiscales ou sociales impayées.
  • Vous devez avoir obtenu l’accord de l’ensemble des associés de votre société.

Pour mettre votre société en sommeil, vous devez effectuer les démarches suivantes :

  • Déposer une déclaration de cessation temporaire d’activité auprès du Centre de Formalités des Entreprises (CFE).
  • Modifier les statuts de votre société pour mentionner la cessation temporaire d’activité.
  • Publier une annonce légale dans un journal d’annonces légales.

Pendant la période de sommeil, votre société ne peut exercer aucune activité commerciale. Vous devez également respecter certaines obligations, telles que :

  • Tenir à jour un registre des décisions prises par les associés.
  • Déposer une déclaration annuelle de situation auprès du CFE.

A l’issue de la période de sommeil, vous pouvez:

  • Reprendre l’activité de votre société.
  • Dissoudre votre société.

Quelle est la différence entre radiation et mise en sommeil ?

La différence principale entre la radiation et la mise en sommeil réside dans l’effet juridique de chaque procédure sur l’existence de la société :

Radiation:

  • C’est la suppression définitive de la société du Registre du Commerce et des Sociétés (RCS).
  • La société n’existe plus juridiquement et ne peut plus exercer aucune activité.
  • La radiation est généralement irréversible.

Mise en sommeil:

  • C’est une suspension temporaire de l’activité de la société pendant une période maximale de deux ans.
  • La société conserve sa personnalité juridique et peut reprendre son activité à l’issue de la période de sommeil.
  • La mise en sommeil est réversible.

Voici un tableau récapitulatif des différences entre la radiation et la mise en sommeil :

Critère Radiation Mise en sommeil
Effet juridique Suppression définitive de la société Suspension temporaire de l’activité
Existence juridique de la société Disparition Conservation
Possibilité de reprise d’activité Non Oui
Durée Irréversible Réversible (maximum 2 ans)
Démarches Demande de radiation au RCS Déclaration de cessation d’activité et modification des statuts

Qu'est-ce que le redressement judiciaire ?

Le redressement judiciaire est une procédure collective française qui permet à une entreprise en cessation des paiements de poursuivre son activité et de sauver tout ou partie des emplois.

Déroulement du redressement judiciaire:

1. Déclaration de cessation des paiements:

  • L’entreprise, ou un créancier, peut déposer une déclaration de cessation des paiements auprès du tribunal de commerce.

2. Jugement d’ouverture:

  • Le tribunal de commerce statue sur la situation de l’entreprise et peut ouvrir une procédure de redressement judiciaire.

3. Période d’observation:

  • D’une durée maximale de six mois, elle permet d’établir un diagnostic de la situation financière de l’entreprise et de proposer un plan de redressement.

4. Plan de redressement:

  • Proposé par l’administrateur judiciaire et validé par le tribunal de commerce, il fixe les mesures à prendre pour redresser l’entreprise.

5. Clôture de la procédure:

  • Si le plan de redressement est suivi et que l’entreprise est viable, la procédure est clôturée. Dans le cas contraire, la liquidation judiciaire peut être prononcée.

Objectifs du redressement judiciaire:

  • Sauver l’entreprise et ses emplois.
  • Épauler l’entreprise dans la mise en place d’un plan de redressement.
  • Assurer le paiement des dettes aux créanciers.

Avantages du redressement judiciaire:

  • Maintien de l’activité de l’entreprise.
  • Protection contre les poursuites des créanciers.
  • Possibilité de négocier des remises de dettes.

Inconvénients du redressement judiciaire:

  • Procédure complexe et coûteuse.
  • Perte de contrôle de l’entreprise par le dirigeant.
  • Risque de liquidation judiciaire si le plan de redressement échoue.

Comment se passe une cession de droits sociaux ?

Une cession de droits sociaux est une opération par laquelle un associé (le cédant) vend tout ou partie de ses parts sociales dans une société à un acquéreur (le cessionnaire). Cette opération peut se faire pour plusieurs raisons, telles que le départ d’un associé, la prise de participation d’un nouvel investisseur ou le rachat d’une entreprise.

La cession de droits sociaux est une opération encadrée par le droit des sociétés. Il est donc important de respecter certaines formalités pour que la cession soit valable.

Voici les principales étapes d’une cession de droits sociaux:

  1. Négociation du prix de cession: Le cédant et le cessionnaire doivent négocier le prix de cession des parts sociales. Ce prix est généralement fixé en fonction de la valeur de la société, de la rentabilité de l’entreprise et du nombre de parts cédées.
  2. Signature d’une promesse de vente: Une fois le prix de cession convenu, les parties peuvent signer une promesse de vente. Ce document permet de bloquer le prix et les conditions de la cession pendant un certain temps, le temps pour les parties de finaliser la vente.
  3. Agrément du cessionnaire: Dans certaines sociétés, la cession de parts sociales est soumise à l’agrément des autres associés. L’agrément est une procédure par laquelle les associés existants donnent leur accord à la cession.
  4. Acte de cession: L’acte de cession est un document officiel qui formalise la vente des parts sociales. Il doit être rédigé par un notaire ou un avocat et doit contenir des informations essentielles, telles que l’identité des parties, le prix de cession, le nombre de parts cédées et les conditions de la cession.
  5. Publicité de la cession: L’acte de cession doit être enregistré au registre du commerce et des sociétés (RCS) pour être opposable aux tiers.
  6. Mise à jour des statuts de la société: Les statuts de la société doivent être mis à jour pour refléter la nouvelle répartition du capital social.

En plus des formalités légales, il est important de prendre en compte les aspects fiscaux et comptables de la cession de droits sociaux. Il est donc recommandé de se faire accompagner par un professionnel, tel qu’un expert-comptable ou un avocat spécialisé en droit des sociétés.

Est-ce que je peux donner mes droits sociaux à mes enfants ?

Oui, vous pouvez donner vos droits sociaux à vos enfants. La donation de droits sociaux est une opération courante qui permet de transmettre la propriété d’une entreprise à la génération suivante.

Cependant, il est important de respecter certaines conditions pour que la donation soit valable:

  • Vous devez être le propriétaire légitime des droits sociaux que vous souhaitez donner.
  • Vos enfants doivent accepter la donation.
  • La donation doit être réalisée par acte authentique, c’est-à-dire chez un notaire.
  • La donation peut être soumise à des droits de donation.

Les droits de donation sont un impôt qui est dû par le donateur sur la valeur des biens qu’il transmet. Le montant des droits de donation dépend de la valeur des biens donnés, du lien de parenté entre le donateur et le donataire et de la franchise dont le donateur bénéficie.

En plus des droits de donation, la donation de droits sociaux peut avoir d’autres implications fiscales et juridiques. Il est donc important de se faire conseiller par un notaire ou un avocat spécialisé en droit des sociétés avant de réaliser une donation.

Qu’est-ce qu’une convention d’abandon de créance ?

Une convention d’abandon de créance est un acte juridique par lequel un créancier (le crédirentier) renonce à réclamer une créance qu’il détient sur un débiteur (le crédirendaire).

Autrement dit, le créancier accepte de ne plus demander le paiement de la dette au débiteur.

L’abandon de créance est une décision volontaire du créancier qui n’a pas l’obligation d’abandonner sa créance. Il peut le faire pour plusieurs raisons, telles que:

  • Des difficultés financières du débiteur: Si le créancier estime que le débiteur est incapable de rembourser sa dette, il peut renoncer à la créance pour éviter des procédures judiciaires longues et coûteuses.
  • Le maintien d’une relation commerciale: Si le créancier et le débiteur ont une relation commerciale continue, l’abandon de créance peut être un moyen de préserver cette relation.
  • Des motivations philanthropiques: Le créancier peut également abandonner sa créance pour des raisons philanthropiques, par exemple pour aider une personne en difficulté.

L’abandon de créance est un contrat qui doit être formalisé par écrit. La convention d’abandon de créance doit contenir plusieurs mentions essentielles, telles que:

  • L’identité du créancier et du débiteur
  • Le montant de la créance abandonnée
  • La date et le lieu de la signature de la convention
  • Les motifs de l’abandon de créance

La convention d’abandon de créance doit être signée par les deux parties. Il est également conseillé de faire enregistrer la convention au tribunal de commerce pour lui conférer une date certaine.

L’abandon de créance a plusieurs conséquences:

  • Le débiteur est libéré de sa dette. Il n’a plus à rembourser la créance au créancier.
  • Le créancier ne peut plus réclamer le paiement de la dette. Il perd définitivement son droit de créance.
  • L’abandon de créance est irrévocable. Le créancier ne peut pas revenir sur sa décision.

L’abandon de créance est une opération qui peut avoir des implications fiscales et comptables. Il est donc important de se faire conseiller par un professionnel, tel qu’un expert-comptable ou un avocat, avant de signer une convention d’abandon de créance.

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