Foire aux questions VTC

Le sigle VTC signifie « Véhicule de Tourisme avec Chauffeur » ou « Voiture de Transport avec Chauffeur ».

Le chauffeur de VTC assure le transport de passagers à l’aide de son véhicule, en veillant à offrir un trajet confortable et rapide.

Pour devenir chauffeur VTC, vous devez avoir un permis de conduire valide depuis au moins 3 ans, être âgé d’au moins 21 ans, avoir un casier judiciaire vierge, réussir un examen spécifique au métier de VTC, et obtenir votre carte VTC.

1. Détenir le permis de conduire B depuis au moins trois ans.
2. Obtenir une carte professionnelle VTC suite au passage de l’examen VTC
3. Obtenir un certificat d’aptitude physique en passant une visite médicale chez un médecin agréé
4. Obtenir une assurance professionnelle pour couvrir les risques liés à votre activité de chauffeur VTC.
5. Disposer d’un véhicule adapté

Pour devenir chauffeur Uber, il faut suivre les étapes suivantes :

1. Avoir un permis de conduire valide
2. Avoir un véhicule éligible
3. S’inscrire sur la plateforme Uber :
4. Passer une vérification des antécédents
5. Suivre une formation en ligne

Il faut d’abord passer l’examen VTC théorique et pratique obligatoire puis obtenir la carte professionnelle VTC et le macaron VTC.

Vous devez obtenir la carte professionnelle VTC qui est valable 5 ans, en passant un examen dédié.

La meilleure manière de vous préparer est de suivre une formation auprès d’un organisme comme BVTC Académie, qui offre des cours en ligne et en présentiel et maximise vos chances de réussite.

Les examens VTC sont organisés par les Chambres des Métiers et de l’Artisanat de votre région.

L’examen se compose d’une épreuve théorique  (gestion d’entreprise, comptabilité, réglementation, sécurité routière, anglais…) et d’une épreuve pratique qui consiste en un parcours de conduite.

Oui, notre formation peut être financée grâce au Compte Personnel de Formation (CPF).

La création de votre société de VTC implique de choisir un statut juridique, d’effectuer l’enregistrement auprès du RCS (Registre du Commerce et des Sociétés), et de demander une carte professionnelle VTC auprès de la préfecture. Nous pouvons nous charger de toutes ces démarches.

Les tarifs des services VTC sont fixés librement par chaque chauffeur ou entreprise de VTC. Ils peuvent varier en fonction de la distance, du temps de trajet, de la demande, et d’autres services additionnels proposés.

En tant que chauffeur VTC, vous pouvez accepter plusieurs moyens de paiement : espèces, cartes bancaires, paiements en ligne via des applications dédiées, ou même des chèques dans certains cas.

La principale différence entre un chauffeur VTC et un taxi réside dans le mode de réservation : les VTC ne peuvent accepter des clients que sur réservation préalable, tandis que les taxis peuvent prendre des passagers sans réservation, notamment dans la rue ou aux stations de taxis.

Oui, vous pouvez utiliser un véhicule loué à condition qu’il réponde aux exigences réglementaires applicables aux VTC et que votre nom figure sur le contrat de location comme conducteur autorisé.

Cela dépend de votre situation financière et de vos objectifs à long terme. La location peut réduire les coûts initiaux et offrir plus de flexibilité, tandis que l’achat peut être plus économique sur le long terme.

Pour l’activité VTC, le véhicule doit être une voiture de tourisme confortable, de moins de 6 ans, avec au moins 4 portes et pouvant accueillir entre 4 et 9 passagers, tout en répondant à des critères précis de confort et de qualité. Tous les modèles de véhicules hybrides essence et électriques sont acceptés.

Non, vous n’avez pas besoin d’une licence au sens traditionnel, mais vous devez obtenir une carte professionnelle VTC après avoir réussi l’examen VTC.

En tant qu’entreprise VTC, vous devez tenir une comptabilité à jour, déclarer vos revenus, payer vos cotisations sociales et fiscales, et respecter les règles de facturation et d’assurance.

Oui, en tant que chauffeur VTC indépendant, vous êtes tenu de vous inscrire à l’Urssaf pour payer vos cotisations sociales, qui couvrent la santé, la retraite, et d’autres charges sociales.

BVTC Conseil peut vous accompagner dans l’optimisation fiscale de votre activité, en vous conseillant sur les meilleures pratiques pour réduire vos charges fiscales tout en respectant la législation.

Les chauffeurs VTC indépendants, qui ne travaillent pas nécessairement avec des applications tierces et qui peuvent avoir leur propre clientèle ou travailler avec des entreprises de VTC locales, ont potentiellement un meilleur contrôle sur leurs revenus. Cependant, ils doivent aussi assumer plus de responsabilités en matière de marketing et de gestion de la clientèle. Le revenu d’un chauffeur VTC indépendant peut être très variable. Les chauffeurs VTC indépendants peuvent gagner entre 2 000 € et 8 000 € net par mois, voire plus, en fonction de leur clientèle, de leurs tarifs, et de leur capacité à gérer efficacement leur entreprise. Il faudra ensuite déduire les charges et les frais d’exploitation.

Les chauffeurs VTC qui travaillent via des applications tierces telles qu’Uber, Bolt, ou Lyft partagent une partie de leurs revenus avec ces plateformes. En général, les plateformes prennent une commission qui peut aller de 16% à 30% sur chaque course. En France, le revenu moyen d’un chauffeur VTC travaillant via une application peut varier, mais il est souvent rapporté que les chauffeurs gagnent en moyenne entre 1 500 € et 3 000 € net par mois, après déduction des commissions et avant le paiement des charges et des frais d’exploitation (carburant, entretien du véhicule, assurance, etc.). Ce chiffre peut être plus élevé dans les grandes villes comme Paris, où la demande est plus forte, mais il dépend aussi fortement des heures de travail et de l’efficacité du chauffeur à maximiser ses revenus pendant les heures de pointe.

Vous devez souscrire une assurance responsabilité civile professionnelle qui couvre les dommages corporels et matériels pouvant être causés aux clients.

Il est essentiel de suivre les évolutions législatives du secteur, de maintenir votre carte professionnelle et votre assurance à jour, et de vous assurer que votre véhicule répond aux normes exigées.

Pour augmenter vos revenus, vous pouvez optimiser vos horaires de travail en ciblant les heures de forte demande, diversifier vos services (par exemple, en proposant des services de conciergerie), et travailler à améliorer la satisfaction client pour fidéliser votre clientèle.

Offrez un service impeccable, maintenez votre véhicule en parfait état, soyez ponctuel, courtois et professionnel en tout temps, et restez à l’écoute des besoins de vos clients.

Oui, un site web est un outil précieux pour présenter vos services, partager des témoignages de clients, et faciliter la prise de contact et de réservation. Il améliore également votre visibilité en ligne grâce au référencement naturel (SEO).

Pour promouvoir votre service VTC, envisagez d’utiliser les réseaux sociaux, le référencement local sur Google, les sites d’avis comme TripAdvisor, et les partenariats avec des hôtels et des entreprises locales. Offrir une expérience client exceptionnelle favorise également le bouche-à-oreille positif.

Oui. Les applications de navigation (comme Google Maps ou Waze), de gestion de réservations et de paiements, ainsi que les plateformes de mise en relation avec les clients (Uber, Bolt, etc.) sont essentielles pour optimiser votre activité VTC.